» Il désespéra en songeant à l’énorme pouvoir déployé contre lui, l’aisance avec laquelle n’importe quel intellectuel du Parti l’écraserait dans un débat, les arguments subtils qu’il ne pourrait pas comprendre, et encore moins contrer. Et pourtant, il avait raison ! Ils avaient tort et il avait raison. La réalité, l’évidence et la vérité devaient être défendues. Les vérités sont vraies, point final ! Le monde existe, ses lois ne changent pas. Les pierres sont dures, l’eau mouille, les objets tombent vers le centre de la Terre. Avec le sentiment de s’adresser à O’Brien, et aussi d’énoncer un important axiome, il écrivit : La liberté, c’est de pouvoir dire que deux plus deux font quatre. Tout le reste en découle. «
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sans image et qui ne raconte pas d’histoire, disponible ici : Voilà