Propos pour servir à la résistance contre l’invasion néo-libéral

« Si j’ai pu me résoudre à rassembler pour la publication ces textes en grande partie inédits, c’est que j’ai le sentiment que les dangers contre lesquels ont été allumés les contre-feux dont ils voudraient perpétuer les effets ne sont ni ponctuels, ni occasionnels et que ces propos, s’ils sont plus exposés que les écrits méthodiquement contrôlés aux dissonances liées à la diversité des circonstances, pourront encore fournir des armes utiles à tous ceux qui s’efforcent de résister au fléau néo-libéral. » Pierre Bourdieu

Quelques extraits ici : Contre-feux 1

Quelques extraits de deux livres de sociologues qui évoquent les difficultés de manier les « armes utiles » dont parlait Pierre Bourdieu… : La liberté par la connaissance

 

 » bla, bla, bla… » Eh ben, voilà !

Mis en avant

  » Il désespéra en songeant à l’énorme pouvoir déployé contre lui, l’aisance avec laquelle n’importe quel intellectuel du Parti l’écraserait dans un débat, les arguments subtils qu’il ne pourrait pas comprendre, et encore moins contrer. Et pourtant, il avait raison ! Ils avaient tort et il avait raison. La réalité, l’évidence et la vérité devaient être défendues. Les vérités sont vraies, point final ! Le monde existe, ses lois ne changent pas. Les pierres sont dures, l’eau mouille, les objets tombent vers le centre de la Terre. Avec le sentiment de s’adresser à O’Brien, et aussi d’énoncer un important axiome, il écrivit : La liberté, c’est de pouvoir dire que deux plus deux font quatre. Tout le reste en découle. « 

Un roman graphique,

sans image et qui ne raconte pas d’histoire, disponible ici : Voilà